MENACES GRAVES

CE QUE VOUS N’AVEZ ENCORE JAMAIS PU LIRE

DANS LE BULLETIN MUNICIPAL

 
 
  1. 2)- la toiture de la ferme / ouest s’est beaucoup détériorée depuis son acquisition par la commune.

Depuis Novembre, nous demandons une couverture préventive afin de garder le bâtiment hors d’eau. ( la base en matière de mesure conservatoire ).

M le Maire nous dit que cela ne servirait à rien et que l’on attend les consignes des Architectes des Batiments de France.

Ce faible enthousiasme pour préserver le bien commun nous désole...

Exemple d’une protection de toiture pour conserver un bâtiment ancien hors d’eau.

À Quimper en protégeant le Prieuré de Locmaria, en cours de réhabilitation, la mairie se montre soucieuse du patrimoine architectural et culturel commun.

Quand cette préoccupation atteindra-t-elle les élus de Verneuil au pouvoir ?


La couverture préventive est techniquement et rapidement réalisable. L'exemple ci dessous démontre la volonté de protéger les richesses d'un patrimoine local communal,  par des moyens simples, en attendant une restauration ultérieure.


L'association Vern'oeil renouvelle auprès de Mr Le Maire, une demande de mise en place immédiate d'une couverture préventive du bâtiment ouest de la ferme du Centre Bourg au titre de la préservation du patrimoine local.

 

 

MARS 2010

AVRIL 2009

Pourtant, ailleurs, d’autres savent protéger par des moyens simples et peu couteux, en attendant une restauration ultérieure.

Nos ateliers municipaux ne sont pas démunis ni incompétents, alors pourquoi ?

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1) - Les travaux du Clos Fasquelle, à Montlaville, se poursuivent, et Verneuil change de visage. Déboisé, privé d’une superbe ferme, une bâtisse qui avait traversé les siècles mais qui n’a pas résisté aux marteaux piqueurs, le hameau verra t-il aussi disparaitre son petit pont de pierres, sur le ru Macquart, rue Salomon de Brosse ?

C’est à craindre ! Depuis peu le muret prend du gite, il se fissure. D’ici peu nous allons voir apparaitre un panneau «  Ne pas de pencher : Danger »,  et des barrières de protection.

La cause : les énormes camions de 30 tonnes ou plus, qui passent plusieurs fois par jour, qui stationnent même parfois une heure sur le pont, histoire de charger ou décharger du matériel, ou attendant l’ouverture du chantier. N’y a-t-il pas une masse maximum au-delà duquel le passage est interdit ?

Cela était t-il prévisible ? INEVITABLEMENT ! Qui a pu douter un seul instant que le fragile ouvrage pourrait supporter de telles charges ?

Mais les dégâts matériels ne sont pas les seules nuisances que doit supporter le patrimoine. La nature elle aussi se souviendra des travaux du Clos Fasquelle. Le rû Macquart n’échappe pas à la pollution. Il est complètement bouché par les pierres en certains endroits, pierres qui tombent du chantier. Les sacs plastiques se promènent au fil de l’eau (lorsqu’ils arrivent à franchir les  barrages de pierres). Pire, les bétonnières lavées sur le chantier laissent déverser du ciment dans le ru !

Et les travaux ne sont pas terminés.

2010

1) - Petit pont de pierres, sur le rû Macquart, ébranlé par les camions trop lourds du chantier, rue Salomon de Brosse,

  1. 2)- Toiture de la ferme Ouest, récente propriété communale, non mise hors d’eau malgré nos demandes répétées à Monsieur le Maire.

Voici deux exemples qui illustrent que nos alertes sur les destructions du patrimoine architectural ancien ne sont pas des fantasmes, mais des réalités.

La commune investit fortement pour faciliter les nouvelles constructions et les lotissements.

Le patrimoine ancien est quant à lui négligé, voire méprisé. Méconnaissance ou volonté culturelle ?

Pourquoi laisser nos richesses communes sans attention. Aurait-on la même attitude et les mêmes fonctionnements à Senlis, par exemple ?

Petit pont de pierres, sur le ru Macquart, rue Salomon de Brosse.

Depuis peu le muret prend du gite, il se fissure.


Photo: le petit pont et la pollution du ru. Pendant 2 heures, le  22 mars 2010

L’eau de rinçage des toupies à bèton, c’est bon pour les écosystèmes, tout le monde le sait !

On aimerait que la Mairie qui favorise allègrement la sur-densification urbaine, prenne position sur ces dégâts induits pour les zones naturelles.

Y est-elle : Indifférente ? Défavorable ? Quelle surveillance pour la protection du Rû Macquart ? Quelles actions contre les pollueurs ? Quelle prévention ?  

Envoyez-moi un message

Comme tous les Vernoliens le savent aujourd'hui, Le prieuré du Centre Bourg comprend aussi une ferme composée de plusieurs bâtiments qui mérite l' attention de tous.

 

Il y a quelques mois l'association Vern'oeil a alerté le propriétaire des bâtiments sur l'intérêt de protéger la toiture du bâtiment Ouest de la ferme afin d'éviter toute dégradation supplémentaire dommageable à la préservation de cette bâtisse qui a déjà traversé plusieurs siècles.

 

Depuis  novembre 2009 l'association demande officiellement  la mise en place d'une couverture préventive afin de garder le bâtiment  hors d'eau. Il s'agit d'une mesure conservatoire de base.

Aujourd'hui, l'association fait le constat d'une non protection de la toiture de ce  bâtiment, pourtant propriété communale.

Les deux photographies prises à 6 mois d'intervalle témoignent de l'évolution de la dégradation de la toiture. Chacun pourra en tirer ses conclusions.

Voici quelques photos du Rû au Clos Fasquelle, avec des travaux qui nous semblent poser problème.
Les ouvriers ont fait une tranchée, vite recouverte, avec un tuyau jaune camouflé par une plaque? Quels sont les effluents qui sont déversés dans le Rû par ce tuyau jaune?   (voir photos jointes)

Quels sont les défoliants utilisés pour les berges?

D’autre part, on voit nettement l'écroulement des pierres dans le Rû.
Quel est l'avenir de ce mur de pierres ? Va t-il finir dans le Rû peu à peu ?

MAI 2011

Qui se se soucie de l'état du ru Macquart. Il est, dans sa partie entre le pont et l'extrémité du chantier, dans un état indescriptible. Résidus de chantier, plaque en plastique d'1m50 sur 0,8, morceaux de tuyaux PVC, chutes de cables électriques, de pierres, déversement d'enduits muraux, de reste de ciment, etc...


Au mois d'août 2010 un riverain a fait remarquer ces faits au maire, accompagné de M Mondolini, adjoint au maire, en présence du promoteur.

Le promoteur s'est engagé à nettoyer une fois le chantier fini. La 1ère tranche est livrée. Les travaux sont terminés et rien n'est fait pour remettre le ruisseau en son état naturel.

Nous sommes en mai 2011...

C’est fou ce que le temps passe vite, et que trépassent les zones naturelles et les paysages à Verneuil.