CONSTRUCTIONS SUR PIEUX DE BÉTON = TERRES CUTIVABLES STÉRILISÉES

URBANISME À VERNEUIL

 

Courants telluriques

Les courants telluriques sont des flux formant un réseau qui ressemble au réseau hydrologique. Cette énergie venant de sous terre a été diabolisée ou reconvertie par l'Église car ces lieux ont de tout temps été considérés comme sacrés[réf. nécessaire] La toponymie locale en a parfois conservé la trace : le Creux de l'Enfer, le rocher à la Vouivre, la Grotte Saint Georges, etc.



Des statistiques ont révélé qu'il existe des maisons à cancer, des maisons à divorces, des maisons à suicides et ceci, en rapport étroit avec l'environnement : formation du sol, réseaux d'énergie tellurique, câbles de courant électrique, matériaux de construction, formes, couleurs, etc....

La terre est un être vivant. Elle a des os : les rochers ; des poumons : la forêt ;

des méridiens d'acupuncture : les réseaux Hartmann, Curry et sacré...

Il y a amplification du caractère pathogène lors d'une superposition entre une veine d'eau et une faille tellurique. Dormir et travailler sur une telle zone peut engendrer de la fatigue et à la longue s'intensifier en faisant ressortir des pathologies dégénératives. Evitez à tout prix de disposer une zone de repos sur un croisement central qui cumulerait à la fois un noeud Hartmann, un noeud Curry, le croisement d'une veine d'eau et d'une faille dans cortex central de la terre, ce qui a pour cause de provoquer des pathologies qui ne feraient qu'augmenter avec la présence de telles nuisances. Pour détecter de telles zones dites pathogènes, il faut faire appel à un géobiologue capable de les détecter et de les harmoniser avec l'environnement immédiat dans le cadre de la médecine de l'habitat.



Réseau géomagnétique régulier de Hartmann (d'après Babonneau et al. 1987)


Les végétaux ne sont pas épargnés par l'influence des courants telluriques. Et la sagesse paysanne sait bien que des céleris, concombres, oignons, maïs ne se développent guère au-dessus de certaines zones radiesthésiques. Les animaux, les végétaux et les hommes... la vie tout entière est, en fait, conditionnée par les forces souterraines. Le radiesthésiste sait que le dormeur a du mal à trouver le repos dans un lit placé sur une zone tellurique. Il n'ignore pas que le sommeil de celui qui oriente sa tête vers le sud est peuplé de cauchemars.

Il sait également que, par temps pluvieux et humide, les failles de l'écorce terrestre entrent en pleine action et que leur influence vibratoire nocive s'intensifie. D'où, chez les hommes, une recrudescence des affections rhumatismales et asthmatiques.

De plus, des études sur le sang ont démontré qu'une variation de la vitesse de sédimentation coïncide avec un bouleversement géologique, la présence d'un cours d'eau ou d'un rayonnement tellurique et bien sûr avec les changements météorologiques. C'est pour cette raison que le vibrologue doit agir et intervenir d'une manière holistique (vient du grec "Holos" qui a pour signification "entier, total".


Pour mémoire, voici les causes les plus fréquentes de perturbations d'origine géologique sous nos latitudes :

Les cours d'eau souterrains provoquent une ionisation positive à la surface du sol qui se transmet verticalement et se retrouve de façon à peu près identique à chaque étage d'un immeuble, même élevé. Elle se manifeste par des taches d'humidité sur les murs, et les charges électriques qui naissent sur une telle zone attirent la foudre.

Le croisement de deux ou plusieurs veines d'eau souterraines constituent une zone porteuse de l'onde "vert négatif électrique". Cette onde, tristement célèbre, amplifie les croisements telluriques et constitue un haut risque pour la santé : des cas de cancers y apparaissent régulièrement.

Le degré de nocivité de l'eau souterraine est fonction de son orientation et de sa qualité. L'orientation Ouest-Est est la plus virulente. Une eau usée en activité dans cette direction est particulièrement malsaine.

Le cancer coïncide presque toujours avec la présence de sources ou de failles Est-Ouest. Se réveiller plus fatigué que la veille, avoir envie de dormir sont souvent le signe que l'on dort au-dessus d'une source jaillissante en terre, sous la maison.

Une ambiance biotique déséquilibrée force le système nerveux à réagir, ce qui entraîne asthénie, dépression nerveuse et grande fatigue.

 
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À Verneuil nous assistons à une stérilisation des terres maraîchères qui sont remblayées et bétonnées.


L’homme a du génie pour détruire son univers de vie.

Voyons ce qui se trame à Verneuil :

Prenez une terre inadaptée pour la construction.

Jusqu’ici les habitants préféraient construire ailleurs :

Zone trop humide, terres ayant des qualités nourricières, avec une meilleure utilisation en terres cultivables.


Trouvez un maire énergique, ancien maraicher, préférant «valoriser la terre» en la «marchandisant», mettez le à la tête d’une commune plutôt rurale pendant 30 ans.

Laissez-le élaborer un PLU qui va permettre de construire partout dans le village, sans réaliser d’inventaire des zones humides ou des zones naturelles.

Il sera ainsi possible de réaliser une confortable plus-value avec tous les achats fonciers divers effectués pendant ces 30 ans.

Ajoutez y la caution de quelques autres propriétaires fonciers ayant flairé la bonne affaire.

Vous êtes arrivés à ... Verneuil en Halatte

Les terres agricoles : une ressource rare et non renouvelable

En matière de développement durable, nous nous préoccupons généralement de l'eau, de l'air, du pétrole…
Pourtant, il existe un autre bien précieux rarement évoqué et non renouvelable : ce sont les terres agricoles.

La Fédération Nationale des Sociétés d'Aménagement Foncier et d'Établissement Rural (FNSAFER), lors de son congrès des 23-24 novembre 2005, a tiré la sonnette d'alarme.

Disparition des terres agricoles en France

Actuellement, en France, tous les 6 ans, l'équivalent d'un département agricole est urbanisé et artificialisé, de manière irréversible.

Les principales causes :

  1. La multiplication des zones d'activités (commerciales, industrielles),

  2. les grandes infrastructures (autoroutes, lignes TGV),

  3. l'étalement urbain avec le développement d'un habitat pavillonnaire en périphérie des villes

On pourrait objecter : aurons-nous toujours besoin d'autant de terres agricoles, alors que l'on assiste à des mises en jachères pour cause de Politique Agricole Commune, et que notre agriculture, intensive et très productive, subvient à la plupart de nos besoins ? La réponse à cette question est oui.

Un récent rapport du Conseil Économique et Social en énumère les raisons :

 

  1. la souveraineté alimentaire à long terme,

  2. la contribution de l'agriculture à la diversification des sources d'énergie,

  3. la participation des espaces naturels à la lutte contre les risques naturels,

  4. le recours aux espaces naturels pour lutter contre l'effet de serre.


http://www.wat.tv/video/terres-agricoles-en-voie-disparition-1x1l6_2eyxv_.html

http://www.wat.tv/video/france-va-elle-manquer-terres-27325_2i0u7_.html

L'Urbanisation, fléau des terres agricoles.

L’agriculture  subit une très forte pression foncière due à la spéculation immobilière. De plus en plus de terres agricoles sont consommées pour nous permettre de nous loger, de circuler,....



Au rythme de la disparition des terres agricoles et des exploitations au profit d'une urbanisation, d'ici 20 ans à 30 ans, serons nous à même (la France) de produire notre propre nourriture de base. Deviendrons-nous dépendant de la production d'autres pays qui intensifierons leur production, au risque d'en appauvrir leurs sols.

C'est une question majeure qu'il est bon de se poser aujourd'hui pour l'avenir de nos enfants. quelle société laisserons-nous ?


A la veille de grandes décisions :  la suspension voir l'abandon de certaines protections environnementales, l'ouverture d'enquêtes publiques sur le Schéma Directeur de la Région Ile de France, sur la révision de la charte du  PNR de la Haute vallée de chevreuse, les Opérations d'Intérêt National (2 en yvelines), les grands projets en cours, les prévisions d'une urbanisation qui prend au fil des ans sur le monde agricole, que représente ces consommations de terres agricoles au profit de l'urbanisation galopante....


75 000 ha /an

C'est la surface de terres agricoles consommées tous les ans, destinées à l'urbanisation est en constante progression , destinée à la  construction de logements collectifs, individuels, infrastructures routières, équipements collectifs, sportifs, zones commerciales, etc.


C'est toujours vrai en zone périurbaine, où il fait bon vivre, et où les villes et villages consomment de plus en plus d'espaces et cherchent à s'étaler. 


Pris séparément, quelques hectares sur une commune d'un millier ou de plusieurs milliers d'ha, cela représente  peu,  mais au fil des ans,  mis bout à bout c'est énorme.

Tous les dix ans, c’est la surface d’un département français qui passe du statut de terre agricole en terre urbanisée, essentiellement due à une urbanisation horizontale (lotissements, habitat individuel, zones commerciales…).


Concrètement, que cela représente-t-il en terme de données montfortoise et yvelinoise ?

75 000 ha  représente :

- 75 communes comme Saint-Rémy l'Honoré (commune périurbaine yvelinoise du canton de Montfort l'Amaury, de 1000 ha),

- ou 4 cantons comme celui de Montfort l'Amaury, qui sont urbanisé tous les ans.

- il faut 3 ans pour urbaniser un département de la surface des Yvelines (petit département).


2 fois plus de surfaces agricoles consommées par rapport aux années cinquante :

Dans les années 50, la consommation annuelle des terres agricoles s'élevait à environ 35 000 ha.

Sur les 50 dernières années,  il a été consommé l'équivalent de 300 années antérieures à 1950-60.


Et en Ile de France qu'en est-il ?

En Ile-de-France, 80% de la superficie est rurale, avec seulement 50% de terres agricoles.

De ces terres  agricoles 90 % sont céréalières, tenues par de grands exploitants, qui tiennent  les rênes des instances politiques et syndicales, des chambres d’agriculture, etc....


Les prix (bas) de l’hectare  vont de 4 à 10 000 € pour un terrain agricole; et de 100 à 150 000 € pour un terrain constructible, avec en certains endroits des prix disproportionnés à proximité des villes.

Cette écart de prix entraine inexorablement la disparition des terrains agricoles tant convoités. Les proriétaires terriens (agriculteurs ou non) ont ainsi trouvé une opportunité de "faire de l'argent", d'avoir une retraite meilleure en fin d'activité, etc...

Malheureusement, les communes et les collectivités territoriales connaissent des problèmes de spéculation, de corruption et de clientélisme.


A qui la faute :

- A l'Etat oui et non. L'Etat demande 60 000 logements par an pour la règion Ile de france, et impose des projets au travers des "porter à connaissance".

- Aux collectivités territoriales (les communes), qui gèrent leur propre urbanisation, sans cesse sollicités par leurs administrés, petits propriétaires terriens qui veulent à tout prix urbaniser, en profitant pécuniairement d'un bien hérité dont ils ne profitent pas, voir acquis par pur profit, sans oublier un certain clientèlisme local.

 

Artificialisation des sols : la France n’est pas épargnée


09/06/2011

L'artificialisation des sols est une menace pour le développement durable des territoires. C’est le constat alarmé que font la Commission européenne et la Fédération nationale des Safer , chacune à leur niveau, à l’occasion de deux publications récentes qui proposent des pistes d’action.


Une mobilisation européenne en devenir. Le 23 mai dernier la Commission européenne a publié un rapport qui rappelle que l’artificialisation des sols européens progresse à un rythme inquiétant de 3% par an, ce qui équivaut à l’artificialisation annuelle d’une superficie plus grande que celle de la ville de Berlin. S’il souligne les impacts du phénomène sur les écosystèmes et l’augmentation du risque d’inondation, le rapport insiste particulièrement sur la perte irréversible de capacité de production agricole. Le centre de recherche de la commission européenne évalue la perte annuelle de production agricole imputable à l’artificialisation des sols à 4 millions de tonnes de blé. Au-delà du constat, l’institution, qui a pour son rôle d’élaborer et de mettre en œuvre les politiques communautaires, propose de développer une approche axée essentiellement sur la limitation de la progression de l'imperméabilisation des sols, l'atténuation de ses effets et la compensation des pertes de sols de grande valeur par l'adoption de mesures dans d'autres secteurs. En illustration de ces trois grands axes, la commission cite des exemples européens de bonnes pratiques. Début 2012, un document plus technique devrait être produit dans la foulée de ce rapport, et présenter un éventail de pratiques vertueuses à destination des États membres et de leurs collectivités locales. Un pari audacieux si l’on garde en mémoire le blocage au Conseil de la directive cadre « sol » faute des voix de certains États membres dont celle de la France…

Un mal français. Selon la commission 3 départements français sont dans le peloton de tête des territoires européens les plus touchés par la croissance de l’artificialisation des sols. Un constat alarmant que partage, en France, la Fédération nationale des Safer (FNSafer). Dans un volet de son étude annuelle sur le marché foncier rural, elle constate une progression constante de l’artificialisation des sols de l’hexagone. L’urbanisation qui se faisait sur un rythme de 54000 ha par an pendant les années 80 et 61 000 ha dans les années 90, a crû pour atteindre le chiffre inquiétant de 74 000 ha par an entre 2006 et 2008. Soi une perte de 7 million d’hectares de terres agricoles en 50 ans. Les lois de décentralisation ayant confié la responsabilité aux élus communaux de la planification urbaine, la lecture de ces observations interroge particulièrement leur responsabilité et en particulier celle des édiles en charge de la rédaction des Plans locaux d’urbanisme (PLU). Fort de cette analyse la FNSafer va entreprendre un travail de renforcement de la sensibilisation des conseils municipaux pour inciter à un meilleur respect des zonages agricoles dans les PLU. Pour atteindre cet ambitieux objectif elle table sur le développement d’outils contractuels d’observations foncières au niveau communal permettant la mise en œuvre plus réactive de démarches de préemption foncière par les Safer locales.


Christopher de Laburthe

http://www.projetdeterritoire.com/index.php/Espaces-thematiques/Gestion-de-l-espace-Urbanisme/Actualites/Artificialisation-des-sols-la-France-n-est-pas-epargnee

<iframe frameborder="0" width="480" height="393" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xgihf2"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xgihf2_claude-bourguignon-colloque-ou-va-le-monde_news" target="_blank">Claude Bourguignon - Colloque : &quot;O&ugrave; va le monde ?&quot;</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/EuropeEcologie" target="_blank">EuropeEcologie</a></i>

Les phénomènes géotelluriques traitent des perturbations liées à la structure du sous-sol et aux champs énergétiques qui entourent la terre.

www.la-geobiologie.com/geotellurique.html


Principales sources de perturbations liées à la structure du sous-sol :

- Courants d’eau et rivières souterraines,
- Failles, grottes, cavités,
- Cassure dans la composition du terrain

Ces phénomènes sont mesurables physiquement, on note en effet une modification du champ électromagnétique terrestre et une émission de rayon gamma à leur aplomb.

Principales sources de perturbations liées aux champs énergétiques :

- Courants d’eau et rivières souterraines, failles, grottes, cavités, cassure dans la composition du terrain…
- Réseaux Hartmann, Curry, Peyré…

Ces phénomènes énergétiques relèvent du subtil. Il existe néanmoins des outils pour les mettre en évidence dont le Lobe antenne de Hartmann qui est spécialement conçu pour détecter le réseau du même nom.


Les effets sur l’environnement.

Les phénomènes que je décris plus haut ont des répercussions visibles sur notre environnement.

Les plus spectaculaires sont liés aux courants d’eau sous-terrains. Nous pouvons voir des arbres se tordre pour que leurs fruits ne poussent pas au-dessus du courant d’eau. (pommier, poiriers). Les chênes vont avoir tendance à s’ouvrir, d’autres arbres développeront un cancer. De même, il n’est pas rare de voir un mur se fendre au dessus d’un cours d’eau.

Les effets sur le corps humain.

Ces effets sont divers et varient en fonction de l’intensité du phénomène et de la résistance de la personne.

C’est le système hormonal qui réagit le premier. La thyroïde et les glandes surrénales entrent en hyperactivité tandis que le thymus s’effondre. C’est sans doute cette sensibilité du système endocrinien qui nous permet, avec un peu d’entraînement, de détecter ces phénomènes.

Par la suite si le corps reste soumis à ces perturbations, des problèmes de santé vont pouvoir apparaître. Ils peuvent être de tout ordre suivant le point faible de l’individu, allant du trouble du sommeil au cancer en passant par les rhumatismes ou des problèmes de la sphère ORL.

http://www.la-geobiologie.com/geotellurique.html