hurel Dubois HD-34 /

BASE AÉRIENNE DE CREIL

PATRIMOINE AERONAUTIQUE

 

REPORTAGE                        Ce qu’en dit Géomatique Expert

Géomatique Expert - N° 29 - novembre/décembre 2003

La photo aérienne de l’IGN, depuis l’avion jusqu’à la BD Ortho

La photographie aérienne représente encore aujourd’hui la brique de base sur laquelle s’élaborent la plupart des autres produits finaux : cartes papiers, modèles numériques de terrain, suivi des évolutions urbaines, rectification des parcelles cadastrales, etc.

Visite dans les locaux IGN de Creil, où sont réalisées toutes les étapes du traitement des photographies aériennes, depuis la planification des missions jusqu’à la duplication des clichés pour les clients finaux.

Situé en périphérie de Creil, au voisinage de la base aérienne militaire avec laquelle il partage l’utilisation de la piste aérienne, le service des opérations aériennes de l’IGN abrite toutes les ressources nécessaires à la réalisation des campagnes de prises de vue aéroportées, depuis la planification amont jusqu’à l’archivage sur bande numérique des photographies, en passant par le développement, la numérisation, ou bien encore le traitement des toutes nouvelles images issues de la caméra numérique développée en interne.

Première étape : le plan de vol

Pour lire la suite, cliquez sur le lien ci-dessous :

SOURCE : http://www.geomag.fr/sites/default/files/28_37.pdf

Outre les cartes IGN précieuses pour les promeneurs, l’IGN produit diverses publications.



http://www.ign.fr/publications-de-l-ign/Institut/Publications/Autres_publications/memento_2014.pdf

                                                                                                                                                                                                                                       .




La forêt en chiffres et en cartes

Le mémento La forêt en chiffres et en cartes rassemble les principaux chiffres, cartes et informations sur la forêt française issus des campagnes d’inventaire de l’IGN.

En savoir plus sur La forêt en chiffres et en cartes

 

HD-34                                                                                                                                Ce qu’en dit WIKIPEDIA

Le Hurel-Dubois HD-34 est un avion civil français construit par la société Hurel-Dubois en 1956. C'est un bimoteur monoplan contreventé à train tricycle dont seule la roue avant est escamotable.

Il fit son premier vol le 26 février 1957. 8 exemplaires ont été construits et livrés à l'Institut géographique national français pour les relevés cartographiques par photographie aérienne.

Son originalité est son aile haute très fine et à grand allongement qui lui permettait des vols de longue durée avec une grande stabilité ainsi que des caractéristiques de décollage et atterrissage courts (ADAC). Il était surnommé le « coupe-papier ».

Il fut largement utilisé pour les missions outre-mer et selon les appareils de prise de vue emportés, il pouvait effectuer 3 types de missions :

  1. charge photographique de 2 600 kg sur un parcours de 1 200 km à une vitesse de 200 km/h à 3 000 m.

  2. charge photographique de 2 600 kg sur un parcours de 1 600 km à une vitesse de 280 km/h à 5 000 m.

  3. charge photographique de 850 kg sur un parcours de 1 600 km à une vitesse de 250 km/h à 7 000 m.

Retirés du service en 1985, ils ont été remplacés par des Falcon 20 et par des Beechcraft 200T Super King Air.

Un exemplaire du HD-34 est conservé au Musée de l'Air et de l'Espace, et la base IGN à Creil conserve le HD-34 immatriculé

F-BICV, huitième avion de cette série.


SOURCE :     https://fr.wikipedia.org/wiki/Hurel-Dubois_HD-31/32/34

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Hurel Dubois 34              Ce qu’en dit l’Association des Mécaniciens Pilotes d’Aéronefs Anciens


Le Hurel Dubois 34 est caractérisé par son aile à grande allongement qui lui valait le nom de << coupe papier volant >>.

Son envergure est de 46 mètres soit celle d’un AIRBUS !!

Il est propulsé par deux moteurs WRIGHT de 1500 cv chacun. Sa consommation en croisière est de 600 l/h.

Sa grande stabilité et son autonomie de 12 heures de vol lui permettait d’effectuer des relevés cartographique grâce à ses caméras verticales et obliques. Il fut utilisé à travers le monde et principalement en AFRIQUE par l’institut géographique nationale ( IGN ) jusqu’en 1985. Son prédécesseur, le HD 321, fut utilisé au cours des opérations du conflit de SUEZ.

Le Hurel Dubois 34 N° (F-BHOO) construit en 1957, est actuellement l’unique exemplaire en état de vol. Il est baptisé <<Christian Bove>> en hommage au pilote d’essai, membre de l’association, disparu aux commandes du DEWOITINE 520 du musée de l’air.

Masse Max : 18 000 kg

Passagers : 29 + pilotes…

Envergure : 46 m

Vitesse : 120 Kts

Contenu Interactif

  1. Ecouter le son du Hurel Dubois


SOURCE : http://www.ampaa.fr/les-avions-de-lampaa/hurel-dubois-34/

Site de l’Association des Mécaniciens Pilotes d’Aéronefs Anciens

 

Ce qu’en dit Aviation France, avec Aviafrance, (un siècle d'aviation française, les avions, hydravions, planeurs, hélicoptères et autres engins volants fabriqués en France. L'histoire de l'aviation à travers ses appareils) 


Hurel-Dubois HD-34      / 1957 / Relevés topographiques /France


Bimoteur de relevés topographiques. Premier vol le 26 février 1957. 8 exemplaires construits pour l'Institut Géographique National.

Monoplan aile haute. Aile à grand allongement. Construction entièrement métallique.


Voir aussi

Copyright - 2000-07-01 00:00:00  Bruno Parmentier   


SOURCE : http://www.aviafrance.com/hurel-dubois-hd-34-aviation-france-1811.htm

 

Ce qu’en dit le Ministère de la Culture


Monuments historiques

technique / patrimoine aéronautique

désignation / avion bimoteur à voilure à grand allongement Hurel-Dubois type HD-34 F-BHOO

localisation /Ile-de-France ; Seine-et-Marne ; Réau

édifice / aérodrome de Melun-Villaroche

dénomination / avion

matériaux / aluminium ; duralumin

description / Aluminium et duralumin AU4G. Deux moteurs Wright de 1525 cv. Train d'atterrissage fixe. Des volets hypersustentateurs, joints à l'aile à grand allongement, autorisent des évolutions au sol très courtes et permettent l'utilisation de terrains sommaires et exigus. Couleurs de l'Institut géographique National (IGN).

dimensions / h = 8,40 m ; l = 46 m ; la = 2, 36 m ; envergure des ailes = l = 45,30 m. Capacité : une trentaine de personnes. Charge utile = 18 tonnes.

état /en état de marche

auteur(s)

Hurel Maurice (concepteur) ; Société des Avions Hurel-Dubois (usine)

lieu d'exécution : lieu d'exécution : Ile-de-France, 92, Meudon

siècle / 3e quart 20e siècle

date(s) / 1957

historique / Cet avion est un produit caractéristique de la renaissance de l'industrie aéronautique française au lendemain de la seconde guerre mondiale. Maurice Hurel, ingénieur de l'Ecole navale et de Supaéro, était un spécialiste des ailes à très fort allongement. Après l'armistice de 1940, il travaille dans la clandestinité sur des projets utilisant cette technique qui offre l'avantage de transporter une charge utile intéressante en utilisant des pistes d'aviation très courtes. Après guerre, il s'associe avec Jacques Dubois, ingénieur de l'Ecole centrale de Paris, et fonde la Société des Avions Hurel-Dubois. Il réalise en 1948 un prototype basé sur le principe de la voilure dite à grand allongement avec une aile très fine : le HD-10, petit monoplace aujourd'hui conservé au musée de l'air et de l'espace du Bourget. Le gouvernement français passe une première commande de deux appareils de série, les HD-321, préfigurateurs immédiats du HD-34. L'armée de l'air est la première intéressée par les qualités STOL (short take-off and landing) de l'avion qui participera à l'expédition de Suez et sera ensuite utilisé principalement par le Service de documentation et de contre-espionnage (SDEC).

En 1955, moyennant quelques modifications, l'Institut Géographique National (IGN), basé à Creil, passe une première commande de quatre appareils, puis de quatre autres, qui prennent la désignation de HD-34. Ce bimoteur a été spécialement conçu pour effectuer des missions de relevés photographiques. Son originalité lui permet des vols de longue durée d'une autonomie de douze heures, avec une très grande stabilité et des décollages et atterrissages courts. Il effectue des relevés cartographiques grâce à des caméras verticales et obliques ; il a contribué à réaliser la cartographie de l'Afrique du Nord. D'une grande capacité, plus de 18 tonnes, il sert également à ravitailler en nourriture et matériels ses différentes bases à travers le monde. Surnommé le "coupe-papier volant", son envergure est de 46 mètres, soit celle d'un Airbus. Construit en 1955 à Meudon par la Société des Avions Hurel-Dubois, son premier vol remonte au 26 février 1957. Retirés du service en 1985, les HD-34 ont été remplacés par des Falcon 20 et des Beechcraft Super King Air 200T. Des huit appareils, seul le F-BHOO conservé à l'aérodrome de Melun-Villaroche est aujourd'hui en état de marche, régulièrement entretenu et contrôlé par son propriétaire, l'association des mécaniciens pilotes d'aéronefs anciens (AMPAA) ; un second exemplaire, le huitième construit par Hurel-Dubois, existe encore, basé à Creil, mais n'est plus en état de marche.

protection MH

2008/12/15 : classé au titre objet

 

Arrêté : l'avion bimoteur Hurel-Dubois type HD 34.

propriété / propriété d'une association

bibliographie : "Musée d'aviation de Melun-Villaroche Pierre Clostermann".

type d'étude : liste objets classés MH

copyright

© Monuments historiques

enquête 2007 date versement 2010/03/22

référence PM77002250


SOURCE :  http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=%20Soci%E9t%E9%20des%20Avions%20Hurel-Dubois%20&REL_SPECIFIC=3

Ce qu’en dit http://www.avionslegendaires.net

Celui-ci se présentait sous la forme d’un bimoteur à aile haute à grand allongement. Il était propulsé par deux moteurs en étoile Wright Cyclone de 800 chevaux entraînant chacun une hélice bipale. Le HD-31 disposait d’un empennage double et d’un train d’atterrissage tricycle fixe. Construit intégralement en métal, il vola pour la première fois entre les mains de Maurice Hurel le 27 janvier 1953.

Bien que particulièrement prometteur, cet avion ne donna pas de suite et ne fut finalement construit qu’à un seul et unique exemplaire. L’Armée de l’Air, l’Aéronautique Navale, et Air France demandèrent toutefois à Maurice Hurel de construire une version améliorée de son HD-31, mais disposant cette fois ci d’un empennage plus classique et de compétences améliorées.

Le nouvel avion fut désigné HD-32. Extérieurement, il ne se distinguait du HD-31 que par son nouvel empennage, son train d’atterrissage caréné, et par de nouveaux hublots carrés. En lieu et place des Wright de 800 chevaux le HD-32 disposait de deux moteurs en étoile Pratt & Whitney R-1830-3 de 1 200 chevaux chacun entraînant une hélice tripale. Le HD-32 vola pour la première fois le 29 décembre 1953, et fut immédiatement testé par les pilotes du CEV.

A la différence de son prédécesseur le HD-32 fut construit à deux exemplaires qui furent intensivement testés par l’Armée de l’Air. L’un d’eux participa d’ailleurs à divers essais de compatibilité avec les différents matériels roulant de l’Armée de Terre. Au bout de deux ans, le HD-31 et les deux HD-32 furent versés au Centre d’Essais en Vol comme avions de servitude et de liaison. Ils y servirent pendant une dizaine d’années avant d’être remplacé par divers avions dont des MD-315 Flamant. Les pilotes et équipes du CEV surnommèrent les avions Hurel Dubois avec le sobriquet de « coupe papier volant ».

Début 1955, Air France passa commande pour 23 exemplaires d’une version allongée du HD-32 sous la désignation de HD-321. Ces avions étaient censés pouvoir emporter 44 passagers sur une distance d’environ 1800 km. Hurel-Dubois lança immédiatement la fabrication en série, mais alors que le troisième était en cours d’assemblage Air France annula sa commande au profit du Vickers Viscount britannique. Seuls deux HD-321 avaient été vraiment construits. Ils furent livrés à l’Armée de l’Air qui l’utilisa au sein de l’Escadron de Transport ET1/61 « Touraine » de 1955 à 1957. Cette année là, ils rejoignirent le Groupe Aérien Mixte 56 « Vaucluse », la composante aérienne du Service de Documentation Extérieur et de Contre Espionnage, SDECE, c’est à dire l’ancêtre de l’actuel DGSE, les services de renseignement français. Les deux HD-321 participèrent notamment à des opérations spéciales en Algérie et en Afrique subsaharienne. Le « Vaucluse » garda ses deux HD-321 jusqu’en 1967, époque à laquelle ils cédèrent la place à deux Noratlas.

En 1957, l’Institut Géographique National (IGN) commanda huit exemplaires d’une version de cartographie aérienne dérivée du HD-32 sous le nom de HD-34. Ces avions servirent, avec un équipage de cinq personnes, entre 1958 et 1985.  Sa grande stabilité et son autonomie de 12 heures de vol lui permettait d’effectuer des relevés cartographique grâce à ses caméras verticales et obliques. Ils ont été remplacés ensuite par deux Dassault Mystère XX et quatre Beech Super King Air 200 plus économiques et plus modernes. Bien que civils, les huit HD-34 de l’IGN volaient parfois pour le compte des militaires français, notamment dans le cadre de la réalisation de cartes détaillées, dites cartes d’état-major.

Aujourd’hui, quelques exemplaires sont tant bien que mal conservés en état d’exposition. Parmi ceux-ci figure un HD-34 appartenant au Musée de l’Air et de l’Espace. La base de l’IGN à Creil conserve le HD-34 immatriculé F-BICV, le huitième avion de série.

SOURCE : http://www.avionslegendaires.net/avion-militaire/hurel-dubois-hd-31-32-34/

Qui n’a pas été intrigué par cet avion d’un autre âge semblant abandonné devant l’aéroclub de Creil ?


Etrange oiseau de métal cloué au sol, le Hurel-Dubois HD-34 immatriculé F-BICV, huitième avion de sa série, rappelle le génie inventif de deux constructeurs aéronautiques français spécialisés dans la voilure dite à grand allongement avec une aile très fine.


N’ayant pas réussi à s’imposer sur le marché du transport aérien, leurs productions ont été retenues pour des missions spécialisées de transport militaires et de photographie aérienne.


L’IGN de Creil les utilisera pendant presque 30 ans pour des missions de cartographie avant de les remplacer par des avions plus récents.


Voici ci-dessous quelques informations glanées sur le net qui vous permettront d’apprécier la valeur de ce bel oiseau qui fait partie de notre patrimoine aéronautique et qu’il conviendrait de préserver absolument que ce soit à l’initiative de Verneuil en Halatte ou de Creil.

Institut national de l'information géographique et forestière


Ce qu’en dit WIKIPEDIA


L'Institut national de l'information géographique et forestière est un établissement public à caractère administratif

ayant pour mission d'assurer la production, l'entretien et la diffusion de l'information géographique de référence en France.

Avant l'intégration de l'inventaire forestier national le 1er janvier 2012, il était nommé Institut géographique national,

dénomination dont il a conservé l'abréviation IGN. Il a été créé par un décret du 26 juin 1940 et a succédé au Service

géographique de l'Armée (SGA), dissous en 1940.


Histoire

L'IGN a été créé par décret le 26 juin 1940 (signé par Albert Lebrun et Philippe Pétain) et a succédé au Service géographique de l'Armée (SGA), fondé en 1887 et dissous en 1940. Le fonds de cartes anciennes est alors divisé en deux lots : un qui restera à l'Institut et l'autre qui rejoint les archives militaires de Vincennes. Le général Louis Hurault, qui fut à l'origine de ces modifications, est le premier directeur de l'IGN. Ce dernier négocie les statuts et tente, en vain, de récupérer le matériel saisi par les Allemands. Une loi en dix articles est signée le 14 septembre 1940 afin de définir les fonctions de l'IGN. Les statuts seront signés le 8 avril 1941. Ces derniers mettent notamment en place l'École nationale des sciences géographiques afin de former des ingénieurs cartographes.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'IGN devint notamment fameux pour ses faussaires. Les cartographes sont en effet experts en calligraphie et le matériel nécessaire à la production de faux papiers était disponible à l'Institut. Certains ingénieurs de l'IGN étaient en contact avec les services de renseignements alliés basés à Londres. Ils font notamment parvenir clandestinement à Londres un jeu complet de cartes couvrant la France et l'Afrique du Nord afin de remplacer le fonds détruit dans un bombardement. De plus, les agents de l'IGN participent activement à la résistance armée à partir d...


Pour lire l’intégralité de cette page WIKIPEDIA, cliquez sur le lien ci-dessous :


SOURCE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_national_de_l%27information_géographique_et_forestière


Les activités aériennes et la Photothèque nationale


Une des missions de service public de l'IGN est d'assurer le renouvellement de la couverture photographique

aérienne de la France. Pour ce faire, les avions de l'IGN photographient le territoire français. Longtemps

argentiques, les prises de vues sont aujourd'hui numériques, ce qui améliore les traitements de restitution.

L'IGN dispose de quatre avions sur sa base aérienne de Creil ; ils couvrent actuellement la totalité du

territoire en cinq ans. Les prises de vues aériennes permettent la réalisation des bases de données

numériques et de la carte grâce aux techniques de restitution photogrammétriques.

Parmi les avions notables de l'IGN, on peut citer 8 anciens bombardiers LeO 45, les 14 Boeing B-17

« Forteresses volantes » utilisées de 1946 à la fin des années 1980, les 8 Hurel-Dubois HD-34

utilisés jusqu'en 1985, une Alouette III, des AeroCommander, un Fokker 27 et deux Mystère 20.

Le parc actuel est constitué de 4 Beechcraft Super King Air 200T.                                                                        Parc aérien de l'IGN à Creil (en 1970)


SOURCE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_national_de_l%27information_géographique_et_forestière

AU SUJET DE L’IGN, VOIR NOTRE PAGE

NOUVELLES ÉCONOMIQUES LOCALES

  1. -NOVEMBRE 2015 : Creil : quel avenir pour l'Institut géographique national ?

http://vernoeil.com/NOUVELLES_ECONOMIQUES_LOCALES.html

La BA 110 dit adieu à une partie de son histoire



En 1947, l’institut géographique national prend possession d’anciennes installations allemandes sur la commune de Verneuil-en-Halatte, et utilise des avions rachetés aux Américains.

Si le départ des forces aéronautiques ne marque pas la fermeture de la base aérienne 110, une page se tournera malgré tout en septembre. Réactivée en mars 1990 après la première guerre du Golfe, la BA 110 avait connu un essor dans l’après-guerre. Bien avant ça, le premier posé avait eu lieu en 1910, dans un champ tout proche du lieu actuel.

Durant la Grande Guerre, l’Etat-major installé à Creil y a effectué une dizaine de reconnaissances pour repérer l’évolution des troupes allemandes. C’est pourtant la Luftwaffe, l’armée de l’air allemande qui, en 1939-1945, va bâtir une base aérienne avancée afin de mener des raids contre l’Angleterre, avant d’essayer d’y contrer ceux des alliés. Ce sont eux qui donneront une envergure à ce qui était jusque-là une simple plate-forme. En 1951, dans le cadre de l’Otan, est construite une base aérienne moderne qui marque l’arrivée de l’armée de l’air. Dans le contexte de Guerre froide, elle abrite, entre autres, la 10e escadre de chasse pour la défense aérienne de Paris et l’escadron de bombardement 3/91 « Beauvaisis » pour la dissuasion nucléaire. En 1985, après une décision stratégique, la base est mise en sommeil jusqu’à sa réactivation afin de décentraliser les états-majors parisiens. Y seront créés différents services. A la rentrée 2016, seuls les équipes de protections de la base, la direction du renseignement militaire et l’escadron Estérel, en charge du transport stratégique, resteront en place.

SOURCE :  http://m.leparisien.fr/creil-60100/base-aerienne-de-creil-un-meeting-de-l-air-pour-finir-en-beaute-ce-dimanche-27-05-2016-5835279.php#xtref=http%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2Fcreil-60100%2Fbase-aerienne-de-creil-un-meeting-de-l-air-pour-finir-en-beaute-ce-dimanche-27-05-2016-5835279.php

 

AU SUJET DE LA BASE DE CREIL, VOIR également NOTRE PAGE :

NOUVELLES ECONOMIQUES LOCALES